« La foi que j’aime le mieux, dit Dieu, c’est l’Espérance »

mission universelle

A l’aube de l’entrée dans l’année jubilaire dont le thème proposé par le Pape François est « Pèlerins d’Espérance », l’occasion nous est donnée de nous interroger, tout particulièrement en ces temps de troubles et d’incertitude qui planent sur notre monde, sur la signification de cette « Epérance ». Elle n’équivaut pas à l’espoir, elle va plus loin que les espoirs en leur ouvrant un avenir qui dépassent infiniment leur destination première ; parce qu’elle est espérance de résurrection, elle peut demeurer même quand les épreuves s’accumulent et que les lendemains prévisibles ne sont pas rassurants. Pour espérer, il faut connaître Jésus ; connaître sa vie mais surtout vivre sa vie, se laisser prendre par le mouvement de sa passion pour le salut des humains.

L’Espérance est liée à la charité ; elle la conforte, notamment parce qu’elle rend possible l’unité dans la communion si nécessaire à la validité des communautés chrétiennes, à leur renouvellement, à des projets de vie, à la joie de leurs membres.

L’Espérance est à la portée de tous, elle ne rebute personne ; certes pas ceux qui la demande humblement avec le traditionnel acte d’espérance, ni ceux qui osent s’adresser à Dieu avec sur les lèvres un « pourquoi », même emprunt d’amertume voire de révolte. Il y a de la grandeur à se tourner vers Dieu pour lui confier que l’on souffre.

L’Espérance est le don de Dieu par lequel il nous projette vers l’avenir. c’est à chacun qu’il appartient d’attendre de Dieu sa grâce en ce monde et sa récompense là où seront accueillis, au-delà de leur vie sur terre, ceux que Jésus appelait « les bons et fidèles serviteurs ».

Mais l’Espérance a aussi une dimension sociétale en ce sens que partout où ils se croisent, les humains ont leur part à ce qui fait l’air du temps ou bien la propension à revenir sur ce que l’on déplore et provoque l’affliction ; ou bien l’empressement à faire valoir ce qui réchauffe le coeur et fait sourire la vie…..A nous, à chacun d’essayer d’être résolument du bon côté !

(source : Méditation sur l' »Espérance, cette vertu chrétienne » de Monseigneur E. MARCUS, Evêque émérite de Toulouse)

 

Publié le 10 février 2025

« La foi que j’aime le mieux, dit Dieu, c’est l’Espérance »

A l’aube de l’entrée dans l’année jubilaire dont le thème proposé par le Pape François est « Pèlerins d’Espérance », l’occasion nous est donnée de nous interroger, tout particulièrement en ces temps de troubles et d’incertitude qui planent sur notre monde, sur la signification de cette « Epérance ». Elle n’équivaut pas à l’espoir, elle va plus loin que les espoirs en leur ouvrant un avenir qui dépassent infiniment leur destination première ; parce qu’elle est espérance de résurrection, elle peut demeurer même quand les épreuves s’accumulent et que les lendemains prévisibles ne sont pas rassurants. Pour espérer, il faut connaître Jésus ; connaître sa vie mais surtout vivre sa vie, se laisser prendre par le mouvement de sa passion pour le salut des humains.

L’Espérance est liée à la charité ; elle la conforte, notamment parce qu’elle rend possible l’unité dans la communion si nécessaire à la validité des communautés chrétiennes, à leur renouvellement, à des projets de vie, à la joie de leurs membres.

L’Espérance est à la portée de tous, elle ne rebute personne ; certes pas ceux qui la demande humblement avec le traditionnel acte d’espérance, ni ceux qui osent s’adresser à Dieu avec sur les lèvres un « pourquoi », même emprunt d’amertume voire de révolte. Il y a de la grandeur à se tourner vers Dieu pour lui confier que l’on souffre.

L’Espérance est le don de Dieu par lequel il nous projette vers l’avenir. c’est à chacun qu’il appartient d’attendre de Dieu sa grâce en ce monde et sa récompense là où seront accueillis, au-delà de leur vie sur terre, ceux que Jésus appelait « les bons et fidèles serviteurs ».

Mais l’Espérance a aussi une dimension sociétale en ce sens que partout où ils se croisent, les humains ont leur part à ce qui fait l’air du temps ou bien la propension à revenir sur ce que l’on déplore et provoque l’affliction ; ou bien l’empressement à faire valoir ce qui réchauffe le coeur et fait sourire la vie…..A nous, à chacun d’essayer d’être résolument du bon côté !

(source : Méditation sur l' »Espérance, cette vertu chrétienne » de Monseigneur E. MARCUS, Evêque émérite de Toulouse)

 

Publié le 10 février 2025

« La foi que j’aime le mieux, dit Dieu, c’est l’Espérance »

mission universelle

A l’aube de l’entrée dans l’année jubilaire dont le thème proposé par le Pape François est « Pèlerins d’Espérance », l’occasion nous est donnée de nous interroger, tout particulièrement en ces temps de troubles et d’incertitude qui planent sur notre monde, sur la signification de cette « Epérance ». Elle n’équivaut pas à l’espoir, elle va plus loin que les espoirs en leur ouvrant un avenir qui dépassent infiniment leur destination première ; parce qu’elle est espérance de résurrection, elle peut demeurer même quand les épreuves s’accumulent et que les lendemains prévisibles ne sont pas rassurants. Pour espérer, il faut connaître Jésus ; connaître sa vie mais surtout vivre sa vie, se laisser prendre par le mouvement de sa passion pour le salut des humains.

L’Espérance est liée à la charité ; elle la conforte, notamment parce qu’elle rend possible l’unité dans la communion si nécessaire à la validité des communautés chrétiennes, à leur renouvellement, à des projets de vie, à la joie de leurs membres.

L’Espérance est à la portée de tous, elle ne rebute personne ; certes pas ceux qui la demande humblement avec le traditionnel acte d’espérance, ni ceux qui osent s’adresser à Dieu avec sur les lèvres un « pourquoi », même emprunt d’amertume voire de révolte. Il y a de la grandeur à se tourner vers Dieu pour lui confier que l’on souffre.

L’Espérance est le don de Dieu par lequel il nous projette vers l’avenir. c’est à chacun qu’il appartient d’attendre de Dieu sa grâce en ce monde et sa récompense là où seront accueillis, au-delà de leur vie sur terre, ceux que Jésus appelait « les bons et fidèles serviteurs ».

Mais l’Espérance a aussi une dimension sociétale en ce sens que partout où ils se croisent, les humains ont leur part à ce qui fait l’air du temps ou bien la propension à revenir sur ce que l’on déplore et provoque l’affliction ; ou bien l’empressement à faire valoir ce qui réchauffe le coeur et fait sourire la vie…..A nous, à chacun d’essayer d’être résolument du bon côté !

(source : Méditation sur l' »Espérance, cette vertu chrétienne » de Monseigneur E. MARCUS, Evêque émérite de Toulouse)

 

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Publié le 10 février 2025